jeudi 23 août 2007

The beast

Moi qui rêvais de partir avec 1,5 kg de câblages et 500 g de notices (j'ai déjà largement explosé le poids maximum réglementaire de 20 kg dans mes valises), et bien me voilà servie !

Alors, comment se fournir tout ce petit attirail en un rien de temps ? En achetant un caméscope bien sûr.

Et oui, l'insecte est minuscule mais il est bardé d'antennes, de raccordements, de boutons amovibles, de voyants, de connections, (j'ai échappé à la télécommande infra-rouge), et même d'une "station d'accueil", un genre de base de lancement spatiale pour qui veut balancer son caméscope en orbite à la vitesse de la lumière : c'est Star Wars. Toute cette technologie d'un seul coup c'est excitant mais ça m'effraie un peu.
J'ai donc tout déballé et bien vérifié qu'il ne manquait rien à la liste des pièces, j'ai sélectionné le manuel en français et balancé les 6 autres traduits en dialectes exotiques sino-européen, israélo-jordanien, et j'en passe.
Puis, comme prise de panique devant tout ça, j'ai vite tout re-rangé. Comme ça c'est bien, c'est dans une boîte, ça inspire confiance. Bon...

Et maintenant que faire ? Comme je ne suis pas de tempérament très téméraire en ce moment, je décide de prendre une bonne nuit de sommeil et d’initialiser tout ça demain matin, à la fraîche, après un bon café et un petit dej' enrichi en oméga 3 (histoire de booster les neurones).
Après seulement je saurai dire si ce petit joujou est simple d'usage ou non…

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