Moi qui rêvais de partir avec 1,5 kg de câblages et 500 g de notices (j'ai déjà largement explosé le poids maximum réglementaire de 20 kg dans mes valises), et bien me voilà servie !Alors, comment se fournir tout ce petit attirail en un rien de temps ? En achetant un caméscope bien sûr.
Et oui, l'insecte est minuscule mais il est bardé d'antennes, de raccordements, de boutons amovibles, de voyants, de connections, (j'ai échappé à la télécommande infra-rouge), et même d'une "station d'accueil", un genre de base de lancement spatiale pour qui veut balancer son caméscope en orbite à la vitesse de la lumière : c'est Star Wars. Toute cette technologie d'un seul coup c'est excitant mais ça m'effraie un peu.
J'ai donc tout déballé et bien vérifié qu'il ne manquait rien à la liste des pièces, j'ai sélectionné le manuel en français et balancé les 6 autres traduits en dialectes exotiques sino-européen, israélo-jordanien, et j'en passe.
Puis, comme prise de panique devant tout ça, j'ai vite tout re-rangé. Comme ça c'est bien, c'est dans une boîte, ça inspire confiance. Bon...
Et maintenant que faire ? Comme je ne suis pas de tempérament très téméraire en ce moment, je décide de prendre une bonne nuit de sommeil et d’initialiser tout ça demain matin, à la fraîche, après un bon café et un petit dej' enrichi en oméga 3 (histoire de booster les neurones).
Après seulement je saurai dire si ce petit joujou est simple d'usage ou non…
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